À mon avis, Therese Raquin est l’un des grand romans, encore plus quand on pense que Zola avait seulement 26-27 ans quand il l’a écrit. Le roman est un thriller d’adultère passionné, meutre et de la culpabilité. Souvent, pas beaucoup se passe mais il y a une contrainte de continuer à lire. On doit savoir de plus en plus sur les deux personnages principaux, et ce qui est de devenir d’entre eux.
Mme Raquin a pris soin de sa nièce Thérèse depuis qu’elle était une petite fille. Elle était la fille de son frère avec une mère algérienne. Therese semble toujours d’avoir une nature très calme pendant elle a grandi. D’autre part, sa cousine Camille était faible et toujours malade.
D’abord, ils vivaient tous dans la petite ville appelée de Vernon. (Sur le seuil de l’endroit où Claude Monet établirait ses jardins à Giverny) Lorsque Camille avait grandi, il voulais vivre à Paris. Mme Raquin a acquis une ancienne boutique de Mercerie près de Pont Neuf où ils était tous capables de vivre au-dessus. Camille trouvé un travail dans un bureau avec une compagnie de chemin de fer.
Il a été convenu que Thérèse serait épouser son cousin, Camille. Je commençais à penser que cela pourrait être une belle histoire romantique avec une fin heureuse. Il y avait tous les ingrédients.
Comme je me suis trompé!
Peu de temps après le mariage, Camille ramène à la maison un vieil ami de son enfance, Laurent. Très bientot, Thérèse et Lauren commencent des liaisons secrètes et Thérèse trouve toute la passion qu’elle était incapable de savoir avec son mari malade.
Lorsque les deux amants tuer Camille, ils ont apparemment commis le crime parfait. Ils convainquent amis et la famille que la mort de Camille était un accident tragique. Il est tombé dans l’eau, ne pouvait pas nager et ils ont été incapables de le sauver.
S’ils ont laissé un peu de temps passer, ils peut enfin être ensemble
Au lieu de cela, ils entrent dans un monde effrayant de cauchemar, de culpabilité et des fantômes.
Certains ont avancé que l’histoire est inutilement étiré. Je ne suis pas sûr. Certes, la partie du roman après le meutre est plus de la moitié du livre. Mais le lecteur se sent toujours le fort besoin de tourner les pages, en espérant que quelque chose va enfin arriver à déplacer l’histoire à son dénouement. Pour moi, ceci est où l’auteur
a l’opportunité de développer la profondeur psychologique des personnages principaux.
Il est facilement supposer que Thérèse et Laurent étaient mal, mauvais. Même Zola se réfère à eux comme des brutes. Mais les gens sûrement vraiment mauvais ne seraient jamais tellement hantés et souffrent terriblement de la culpabilité.
Zola décrit son travail comme naturalisme et prétend appliquer la méthode scientifique. J’ai pris cela avec un pincé de sel. Son don d’écrivain brille à travers pour produire un roman qui va hanter le lecteur pendant un temps considérable après qu’il ou qu’elle a tourne la page finale.
Néanmoins, le roman est réaliste en ce qu’elle décrit de manière vivante la vie de la classe ouvrière au milieu du 19ème siècle à Paris. Très souvent, les gens ordinaires sont romancées. Pas dans Thérèse Raquin.
Et bien que l’intrigue du roman est limitée par les mœurs de l’époque, il y a beaucoup dans l’histoire qui est intemporelle et pourrait facilement être retravaillé pour le 21e siècle.
Par-dessus tout, le roman est certainement un modèle de noir moderne.