Au revoir la-haut – Pierre Lamaitre
Le roman commence dans les derniers jours du conflit de la Première Guerre mondiale. Édouard et Albert vois ses destins indissoluble lié. Il y avait eu une dernière poussée contre le Bosch. Mais Aulany Pradelle choisi ces deux victimes de provoquer le reste de ses hommes en action. Édouard et Albert sont gravement blessés.
Ils sont tous deux hospitalisé, mais pour Édouard il était très grave, et après des mois de soins, il survit – après une facon. Il ne peut plus parler. Il est obligé d’écrire sur une ardoise à engager la conversation. En l’absence de la mâchoire soit, les gens auraient du mal à le regarder. Pour visage, il a un trou.
Albert prend d’Edward. Édouard ne veut pas que sa famille sache qu’il a survécu. Et alors, il prend le nom d’un soldat mort et Albert écrit au père d’Édouard que son fils est mort la mort d’un héros. Edward, sous son nouveau nom, est transféré dans un hôpital à Paris. Juste avant Albert, maintenant récupéré, est due à prendre le train pour Paris, la sœur d’Edward arrive avec Pradelle. Elle veut prendre le corps d’Édouard vers le caveau de la famille.
Une des conséquences de cette tromperie est que Édouard est pas en mesure de réclamer un quelconque avantage financier du gouvernement français.
L’odieux Pradelle réussit à persuader la sœur d’Édouard, Madelaine, de l’épouser. Donc Pradelle trouve son chemin dans la maison de la famille d’Édouard. Pradelle démarrer une entreprise transportant les cercueils vers les grands cimetières. Donc, il est désireux de faire de l’argent qu’il réduit les coûts considérablement, à tel point que les organismes doivent être scié afin d’intégrer dans les trop petits cercueils.
En attendant, Albert soigne Édouard dans une petite pièce. Édouard arrive avec un système compliqué, très frauduleuse de faire un peu d’argent. Eh bien, pour faire une petite fortune. Utilisé les compétences artistiques et de design de Édouard, il a imprimé un catalogue d’envoyer à toutes les petites villes de France, les invitant à lui faire concevoir et ériger un monument sur le lit de la guerre. Ils ont juste besoin d’envoyer un dépôt avant le 14 Juillet.
Dans une inteview avec France-Inter juste après avoir remporté le Prix Goncourt, il a dit qu’il avait Regarder beaucoup de films d’archives et consulté les dossiers d’archives en préparation pour écrire son livre. Il a plongé dans this époque. Le France n’avait pas les moyens d’intégrer les anciens combattants de la guerre tels que Albert et Édouard, les gens qui avaient souffert et où endommagés dans le corps et l’esprit.
Ce n’est pas un roman sur le guerre mais un roman sur le après-guerre
Il nous entrainer sur le parcours très difficile. Le parcours de démobilisé quand on est complètement abandonné. Ils avait le mauvais gout de ne pas mourir. Les gens qui rentre, il sont moche, abîmé, dérangé. Comme en les états unis a la fin de la guerre en Vietnam. Personne voulait les soldats blessés.
La guerre mêle les gens très different. Les gens qui se rencontre jamais dans les autres circonstances. La brassage des gens. Mail là il y a un fraternité de guerre soudain et sincère qui la va a rassemblé presque par accident.
Albert est un petit employé de banque. Avec un destin tous modeste. Mais il a une mère. Une mère forte. On ne la vois pas – mais on l’entend. Albert a une mère mais pas un père. Édouard a une père mas pas une mère.
Pradelle est un petit peu comme Javert. Absolu méchant. Il vienne de l’aristocratie en ruine. Il veut retrouvez quelque chose de sa racine avec les armes des bourgeoisie, l’industrie, etc. Il est devenu opportuniste. Il veut emprunter les traits de la bourgeoisie.
Les morts restes toujours dans les champs de guerre identifie par une bouteille avec un nom. Comment faire. Pour donner les respect, un sépulcre, il faut creuser la terre, transporter les corps. Après la guerre, la France avait rien, pas de camions. Personne sait faire.
Louise voulais voir le visage de Édouard. Le gueule cassé. Elle le regard sans jugement. Elle comprend avec sa naïveté ce qu’il se sent. Elle ne parles pas non plus. Ils ont un rapport. Ils commence a faire les masques.
Pierre Lemaitre a dit qu’il est frappé par les similitudes entre le période l’après-guerre 1918 et le notre. La France n’a pa pu accueillir les soldats, de les intégré. Exactement comme aujourd’hui, un section de la population qui risque d’exclusion. Le nouveau pauvre de l’epoch. Beaucoup commémorant les mortes mais assez mal occupé dès vivantes.