Extension du domaine de la lutte – Michel Houellebecq

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2 Responses to Extension du domaine de la lutte – Michel Houellebecq

  1. Chris Ratcliffe says:

    Je n’comprend pas pourquoi cette écrivain est si populaire. Lors de notre club de lecture, la majorité des gens ont aimé son style et la façon dont il a raconté l’angoisse d’un jeune homme moderne. Pour moi, son écriture est banal et ennuyeux. Il offre peu d’indications dans le sens de la vie.

    Ce roman n’a pas de charme et l’auteur n’arrive jamais à prendre complètement l’air “littéraire”. L’histoire n’a pas de structure. Le première page, une fille déshabille. Pourquoi? Et puis, il perds sa voiture, il écrit une fiction des animaux, Il tente de rencontrer un collègue qui ne se présente pas, il rencontre un vieil ami qui est un prêtre et qui pense qu’on a besoin de l’érotisme, avec son collègue Tisserand, il se rend à Rouen que il n’aime pas, et puis il est allée voir un film porno et il tombe malade, au boîte, ils rencontrent une copie carbone de son ancienne petite amie, avec son couteau, ils essayent de devenir des meurtriers, Tisserand est morte dans un accident, ou pas, de voiture, un séjour dans un hôpital psychiatrique, Jean-Paul confesse ses péchés sexuels et enfin un suicide, ou pas.

    Des les premier lignes, Je me demandais qu’est que c’est avec cette écrivain. Deux filles pas belles du tout”. «Une fille qui ne couche avec personne.» Mysogynist. «j’aurais mieux fait de lui casser les deux bras» est la façon dont il parle de son ancienne petite amie, Véronique.

    Un jeune homme dépressif, cynique, il a eu les problèmes avec des femme. Et alors, Les femmes sont la cause de tous ses problèmes. Enfin, vraiment, il n’aime tellement pas les femmes. Elles sont presque tous moche. Un adolescent avec des problèmes. Quelle différence de Meursault dans L’Etranger de Camus or Holden Caulfield in Catcher in the Rye.

    L’aspect philosophique n’apporte rien de nouveau. Il compare les préférences sexuelles avec le marché du capitalisme et assimile le laid avec les pauvres. «Je voulais souligner que si les gens n’ont pas une vie sexuelle, ce n’est pas pour une raison morale, c’est juste parce qu’ils sont laids.»

    Quand je vois combien de personnes ont évalué cet ouvrage positive, je désespère.

    Comme un autre a commenté, «Je ne pouvais plus dire si je voulais me tuer ou tuer le narrater.»

  2. Liz Housby says:

    Mon français n’est pas aussi bien pour faire des remarques sur le style ou la qualité de l’écriture de Houellebecq. Neanmoins je crois sincèrement qu’il dit beaucoup de vérité. Peut-être on n’aime pas cette vérité et on ne veut pas l’admettre, mais c’est la vérité quand meme.

    Prémièrement la réussite et le bonheur de quelqu’un peut bien dependre de son aspect physique. Ceux qui sont beaux son d’habitude plus populaires mieux traités et on plus de réussite. Personne ne veut regarder quelqu’un de vieux et de laid. On n’a que penser au traitement des femmes âgées a la télévision – ou plutôt le manque d’elles puisqu’on les oblige a faire la retraite. Regarde aussi les comments méchants sur l’internet au sujet des gens (et surtour des femmes) qui sont laides. On ne prête souvent aucune attention aux autres qualités de ceux qui manquent de beauté. La beauté a toujours ete vénérée et encore plus dans notre monde si visuel. Le résultat – et Houellebecq a la sensibilité de le montrer – est la solitude et le désespoir de ceux qui ne sont pas jolis. Houellebecq explique que le charme et l’intelligence peuvent sauver quelqu’un de ce sort, mais il y aura toujours des infortunés qui ne possèdent aucune des qualités nécessaires pour méner une vie heureuse.

    Il ne sert a rien de nier ce qui est évident et je donne des remerciements a des écrivains qui n’ont pas peur d’aborder ces sujets qui sont d’habitude évités parce ce qu’ils ne sont pas optimistes. Quelquefois l’optimisme n’existe ps et c’est un soulagement quand quelqu’un est prêt de le dire tout franchement. Ayant dit cela, ce roman m’a fait rire plus de fois que le tas de vacuité superficielle qui est ‘L’écume des jours’ dans lequel les gens ordinaires n’existent pas et les seuls qui compte sont jeunes, beaux, sucrés et inventifs.

    Au sujet du misogynisme, je n’ai lu que ce livre de Houellebecq et ne peux pas faire un jugement basé sur son oeuvre entière. En ce qui concerne ce livre en particulier, il ne faut pas oublier que la personne la plus laide et le plus repoussée n’est pas une femme mais un home – le collègue malheureux du protagoniste.

    C’est pourquoi de dis merci a Houellebecq pour mettre au jour la tristesse éprouvée par tant de gens

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