-
Recent Posts
Recent Comments
- admin on La carte postale – Anne Berest
- Jenny Slaughter on La petite Fadette – George Sand
- Jenny Slaughter on Femmes d’Alger dans leur appartement – Assia Djebar
- jenny slaughter on Soumission – Michel Houellebecq
- jenny slaughter on Thérèse Raquin – Émile Zola
Archives
- December 2024
- November 2024
- September 2024
- July 2024
- June 2024
- May 2024
- April 2024
- March 2024
- February 2024
- January 2024
- December 2023
- November 2023
- October 2023
- September 2023
- July 2023
- June 2023
- May 2023
- April 2023
- March 2023
- February 2023
- January 2023
- December 2022
- November 2022
- September 2022
- July 2022
- May 2022
- April 2022
- March 2022
- February 2022
- January 2022
- December 2021
- November 2021
- October 2021
- September 2021
- July 2021
- June 2021
- May 2021
- April 2021
- March 2021
- February 2021
- January 2021
- December 2020
- November 2020
- October 2020
- September 2020
- August 2020
- July 2020
- June 2020
- May 2020
- April 2020
- February 2020
- December 2019
- October 2019
- September 2019
- June 2019
- May 2019
- April 2019
- March 2019
- February 2019
- January 2019
- December 2018
- November 2018
- October 2018
- September 2018
- June 2018
- May 2018
- March 2018
- January 2018
- December 2017
- November 2017
- October 2017
- September 2017
- June 2017
- May 2017
- April 2017
- March 2017
- February 2017
- January 2017
- December 2016
- November 2016
- October 2016
- June 2016
- May 2016
- April 2016
- March 2016
- February 2016
- January 2016
- November 2015
- October 2015
- September 2015
- June 2015
- May 2015
- March 2015
- January 2015
- December 2014
- October 2014
- September 2014
- May 2014
- April 2014
- March 2014
- February 2014
- January 2014
- December 2013
- September 2013
- June 2013
- April 2013
- March 2013
- February 2013
- January 2013
- December 2012
- October 2012
- June 2012
- April 2012
- March 2011
Categories
Meta
-
Recent Posts
Recent Comments
- admin on La carte postale – Anne Berest
- Jenny Slaughter on La petite Fadette – George Sand
- Jenny Slaughter on Femmes d’Alger dans leur appartement – Assia Djebar
- jenny slaughter on Soumission – Michel Houellebecq
- jenny slaughter on Thérèse Raquin – Émile Zola
Archives
- December 2024
- November 2024
- September 2024
- July 2024
- June 2024
- May 2024
- April 2024
- March 2024
- February 2024
- January 2024
- December 2023
- November 2023
- October 2023
- September 2023
- July 2023
- June 2023
- May 2023
- April 2023
- March 2023
- February 2023
- January 2023
- December 2022
- November 2022
- September 2022
- July 2022
- May 2022
- April 2022
- March 2022
- February 2022
- January 2022
- December 2021
- November 2021
- October 2021
- September 2021
- July 2021
- June 2021
- May 2021
- April 2021
- March 2021
- February 2021
- January 2021
- December 2020
- November 2020
- October 2020
- September 2020
- August 2020
- July 2020
- June 2020
- May 2020
- April 2020
- February 2020
- December 2019
- October 2019
- September 2019
- June 2019
- May 2019
- April 2019
- March 2019
- February 2019
- January 2019
- December 2018
- November 2018
- October 2018
- September 2018
- June 2018
- May 2018
- March 2018
- January 2018
- December 2017
- November 2017
- October 2017
- September 2017
- June 2017
- May 2017
- April 2017
- March 2017
- February 2017
- January 2017
- December 2016
- November 2016
- October 2016
- June 2016
- May 2016
- April 2016
- March 2016
- February 2016
- January 2016
- November 2015
- October 2015
- September 2015
- June 2015
- May 2015
- March 2015
- January 2015
- December 2014
- October 2014
- September 2014
- May 2014
- April 2014
- March 2014
- February 2014
- January 2014
- December 2013
- September 2013
- June 2013
- April 2013
- March 2013
- February 2013
- January 2013
- December 2012
- October 2012
- June 2012
- April 2012
- March 2011
Categories
Meta
Extension du domaine de la lutte – Michel Houellebecq
This entry was posted in Uncategorised. Bookmark the permalink.
2 Responses to Extension du domaine de la lutte – Michel Houellebecq
Leave a Reply
You must be logged in to post a comment.
Je n’comprend pas pourquoi cette écrivain est si populaire. Lors de notre club de lecture, la majorité des gens ont aimé son style et la façon dont il a raconté l’angoisse d’un jeune homme moderne. Pour moi, son écriture est banal et ennuyeux. Il offre peu d’indications dans le sens de la vie.
Ce roman n’a pas de charme et l’auteur n’arrive jamais à prendre complètement l’air “littéraire”. L’histoire n’a pas de structure. Le première page, une fille déshabille. Pourquoi? Et puis, il perds sa voiture, il écrit une fiction des animaux, Il tente de rencontrer un collègue qui ne se présente pas, il rencontre un vieil ami qui est un prêtre et qui pense qu’on a besoin de l’érotisme, avec son collègue Tisserand, il se rend à Rouen que il n’aime pas, et puis il est allée voir un film porno et il tombe malade, au boîte, ils rencontrent une copie carbone de son ancienne petite amie, avec son couteau, ils essayent de devenir des meurtriers, Tisserand est morte dans un accident, ou pas, de voiture, un séjour dans un hôpital psychiatrique, Jean-Paul confesse ses péchés sexuels et enfin un suicide, ou pas.
Des les premier lignes, Je me demandais qu’est que c’est avec cette écrivain. Deux filles pas belles du tout”. «Une fille qui ne couche avec personne.» Mysogynist. «j’aurais mieux fait de lui casser les deux bras» est la façon dont il parle de son ancienne petite amie, Véronique.
Un jeune homme dépressif, cynique, il a eu les problèmes avec des femme. Et alors, Les femmes sont la cause de tous ses problèmes. Enfin, vraiment, il n’aime tellement pas les femmes. Elles sont presque tous moche. Un adolescent avec des problèmes. Quelle différence de Meursault dans L’Etranger de Camus or Holden Caulfield in Catcher in the Rye.
L’aspect philosophique n’apporte rien de nouveau. Il compare les préférences sexuelles avec le marché du capitalisme et assimile le laid avec les pauvres. «Je voulais souligner que si les gens n’ont pas une vie sexuelle, ce n’est pas pour une raison morale, c’est juste parce qu’ils sont laids.»
Quand je vois combien de personnes ont évalué cet ouvrage positive, je désespère.
Comme un autre a commenté, «Je ne pouvais plus dire si je voulais me tuer ou tuer le narrater.»
Mon français n’est pas aussi bien pour faire des remarques sur le style ou la qualité de l’écriture de Houellebecq. Neanmoins je crois sincèrement qu’il dit beaucoup de vérité. Peut-être on n’aime pas cette vérité et on ne veut pas l’admettre, mais c’est la vérité quand meme.
Prémièrement la réussite et le bonheur de quelqu’un peut bien dependre de son aspect physique. Ceux qui sont beaux son d’habitude plus populaires mieux traités et on plus de réussite. Personne ne veut regarder quelqu’un de vieux et de laid. On n’a que penser au traitement des femmes âgées a la télévision – ou plutôt le manque d’elles puisqu’on les oblige a faire la retraite. Regarde aussi les comments méchants sur l’internet au sujet des gens (et surtour des femmes) qui sont laides. On ne prête souvent aucune attention aux autres qualités de ceux qui manquent de beauté. La beauté a toujours ete vénérée et encore plus dans notre monde si visuel. Le résultat – et Houellebecq a la sensibilité de le montrer – est la solitude et le désespoir de ceux qui ne sont pas jolis. Houellebecq explique que le charme et l’intelligence peuvent sauver quelqu’un de ce sort, mais il y aura toujours des infortunés qui ne possèdent aucune des qualités nécessaires pour méner une vie heureuse.
Il ne sert a rien de nier ce qui est évident et je donne des remerciements a des écrivains qui n’ont pas peur d’aborder ces sujets qui sont d’habitude évités parce ce qu’ils ne sont pas optimistes. Quelquefois l’optimisme n’existe ps et c’est un soulagement quand quelqu’un est prêt de le dire tout franchement. Ayant dit cela, ce roman m’a fait rire plus de fois que le tas de vacuité superficielle qui est ‘L’écume des jours’ dans lequel les gens ordinaires n’existent pas et les seuls qui compte sont jeunes, beaux, sucrés et inventifs.
Au sujet du misogynisme, je n’ai lu que ce livre de Houellebecq et ne peux pas faire un jugement basé sur son oeuvre entière. En ce qui concerne ce livre en particulier, il ne faut pas oublier que la personne la plus laide et le plus repoussée n’est pas une femme mais un home – le collègue malheureux du protagoniste.
C’est pourquoi de dis merci a Houellebecq pour mettre au jour la tristesse éprouvée par tant de gens