La Gloire de mon Père – Marcel Pagnol

lundi 27 juin 2016

Genial! Ce livre est une charmante évocation de la Provence rurale au début du 20e siècle. Après avoir visité la région quelques fois, je peux presque sentir l’odeur du thym, de la sauge et le fenouil qui coule de ses pages.

On suit l’histoire avec les yeux du jeune Marcel. C’est une histoire racontée du point de vue d’un enfant et doit être compris comme tel. On découvre une image idéalisée de la France Provencial avant le film, la télévision, la radio et le transport motorisé. On trouve les enfants en liberté, avec le respect pour leurs parents et on trouve les étrangers qui sont gentils. Certains ont fait remarquer que le livre est un peu trop sucré, mais Pagnol semble être bien conscient que les enfants ne possèdent pas la compréhension sophistiquée comme les adultes et on voit le monde du jeune Marcel comme il le voit, pas nécessairement comment ses parents ou l’oncle Jules aurait vu. Et quand on vieillit, on est peut-être un peu sélectif avec nos souvenirs d’enfance. Comme l’écrivain était dans ses années 50 quand il a écrit le livre, il a été en mesure de prévoir suffisamment de l’humour au fluage dans, entre les lignes, surtout face à des choses comme l’église, l’athéisme et le mensonge aux enfants.

Je dois admettre qu’il était un peu difficile pour un végétarien pour apprécier l’enthousiasme pour la chasse et pour tuer les oiseaux, mais je l’ai fait apprécier les vacances sans soucis, vacances d’été, comme ils l’habitude d’être. Aventure, la curiosité, le plaisir en plein air et de grandir.

La idolâtrie de Marcel de son père est contesté quand il se trouve que l’oncle Jules sait beaucoup plus sur la chasse que Joseph. Vous aurez à lire pour savoir si la fierté de Marcel dans son père retourne.

Marcel Pagnol est décrit le monde rural, on a perdu de la même façon que Thomas Hardy a fait en anglais, peut-être avec un peu de plus de bonheur général.

Le livre est autobiographique, même en utilisant son propre nom et les noms des membres de sa famille. Une fois que Marcel a été perdu dans les montagnes, je ne pouvais pas poser le livre jusqu’à ce que les bartavelles sont venus.

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