Composé a partir de Aout 1909, il a paru en vingt livraisons hebdomadaires dans La Vie parisienne en 1910, et puis publier comme livre le même année. Aussie le même année c’était le divorce de Willy, mariee en 1893
Il avait deux français parmi le vingtaine des personnes là ce soir.
Comme d’habitude on avait eu un bon discussion. Presque tous aimé le livre, surtout le poésie.
Quelqu’une a dit que c’était un roman de transition. Colette avait beaucoup souffri a cause de le fin de mariage. Peut-être cinq ans plus tard, elle aurait écrit quelque choses très différente. Peut-être elle aurait rester avec Max.
Un des hommes a dit qu’il a pleuri après lire l’histoire de sa romance.
Surtout, c’est un bouquin d’une femme qui est déchiré entre l’amour et l’indépendance. Entre travail pour elle-même ou esclavage d’un grand serin. Entre le compagnonnage et bavardage avec des copains et le compagnonnage de quelqu’un qui a pas d’intellect ou bon conversation. Entre le sécurité de l’argent et l’excitation de ne pas savoir ce que ce passe demain.