Lundi 16 novembre 2015
Je ne ai pas aimé cette lecture de ce livre. Je devais me persuader de continuer à lire – il n’a tout simplement pas attirer mon attention. Une grande partie de l’écriture semblait banal. L’écriture est presque reportage et elle manque d’imagination. Ce livre est très certainement pas un tourneur de page.
Les chapitres sont courts et portent peu de rapport avec ce qui suit ou qui vient avant. Souvent chapitres consécutifs ont le même titre. Quatorze des chapitres sont intitulés «Le Père» dont trois, l’un après l’autre.
Je suis perplexe car de toute évidence beaucoup de gens ont profité de cette bookan. Je suppose que les différents lecteurs ont des différentes origines et expériences.
Dès le début, elle raconte les lecteurs qu’il est un livre sur les hommes, les hommes en général, les hommes et certains en particulier, de son premier à son dernier.
“Ce qui m’attire chez un homme, c’est que c’est un homme”
Ce n’est pas que je ne aime pas le le concept. Je pensais que l’idée d’une femme écrivain examiner et réfléchir sur les hommes en général en nous disant sur les hommes de sa vie était bonne. Mais pour moi, il y avait peu de nouveau dans le livre et je n’a pas été convaincu par son style d’écriture. Delphine de Vigan, Marie Ndiaye et Simone de Beauvoir font mieux.
Son écriture est un exemple de l’autofiction, l’écriture autobiographique mélangé avec la fiction et le livre a remporté le Prix Femina en 2000. Il a été traduit dans une trentaine de langues.
Personne ne pouvait ne pas être touché par le récit de la naissance de son fils, mort-né. Et bien sûr, il ya des parties occasionnels qui font attraper les lecteurs. Par exemple, quand elle décrit la naissance de son fils mort-né. Et il ya l’humour occasionnelle. Elle prend son professeur la maison et lui montre sa maison. Sa mere et André arrive et entrer leur chambre. Nous derangeons vos parents? Oh! ce n’est pas mon père.
Et parfois, il ya des phrases ou des pensées qui ne me plaisent. “Pour la première fois elle aime et elle ecrit. Entre ses mains il y a un homme et un livre: c’est la première fois”. Et la référence à Léo Ferré chantant “les armes et les mots, c’est pareil, ça tue pareil”.
Je me demandais si ma réaction a été parce que je suis un homme. Mais non, à notre cercle de lecture, ce sont surtout les femmes qui ne l’aiment pas et les hommes qui l’ont aiment.