Ce sont souvent les livres les plus courts qui provoquent le plus de réflexion. Il ya tellement de choses qui pourraient être dit à propos de Le Chute dans ses 120 pages. Le livre est un monologue dramatique de Jean Baptiste Clemence à un auditeur inconnu. Ils se rencontrent dans un bar appelé Mexico à Amsterdam, la ville où vit Clémence maintenant, comme juge-pénitent. Chaque chapitre est un autre monologue.
Clémence était à la fois un brillant avocat à Paris avec tout pour lui spécialisée en aidant les pauvres et les moins capables de se défendre. Il était bien aimé et les femmes trouvait séduisant. Il a fait du bien, en aidant notamment les aveugles à traverser la rue. Clémence aime la bonne vie. Chaque désir satisfait lui fit chercher un autre. Il a dansé, nuit après nuit.
Il ya certains incidents qui laissent une marque, et peut-être initient sa chute.
Un incident est quand il passe une femme sur Pont Royal, ne pas penser beaucoup plus à cette personne. Quelques minutes plus tard, il entend un cri et se rend compte qu’elle a plongé dans la rivière. Il ne fait rien et cette inaction vient le hanter. Quelques années plus tard, en marchant à travers le Pont des Arts, il entend un rire inexplicable.
Un autre incident est quand il ya une sorte de rage au volant drame, où Clémence recule de représailles. Et puis il se sent coupable de sa réaction.
Quand il est emprisonné par les Allemands en Afrique du Nord, il avoue boire le ration d’eau d’un camarade mort.
Donc, la culpabilité est un thème clé dans La Chute. Clémence sentir la culpabilité où Meursault dans L’Etranger ne sentait pas.
Jean Baptistel arrive à l’opinion qu’il n’a plus d’amis? Parce que quand il pensait à se tuer, il ne pouvait pas penser à quelqu’un qu’il serait punir. Le suicide est aussi autre chose sur laquelle Camus reflète. Ailleurs, Camus a écrit que la forme la plus courante du suicide philosophique est de reporter à un certain système de croyance fait prêt
Est la pièce autobiographique? Non, dit Camus. Alors, qui parle? Est-il Camus? Certains auteurs ont suggéré que Camus est d’imaginer Sartre. Eh bien tout simplement qui est Jean Baptiste Clémence? Peut-on croire tout ce qu’il dit à propos de lui-même. Ou est-il, comme il le suggère, juste reflétant son auditeur à lui-même?