Rien ne s’oppose à la nuit – Delphine de Vigan


17 Novembre 2014

This entry was posted in Uncategorised. Bookmark the permalink.

One Response to Rien ne s’oppose à la nuit – Delphine de Vigan

  1. Chris Ratcliffe says:

    Il y avait un accord assez général que le livre était bonne et les gens apprécié la lecture. Cependant, au moins trois personnes ne aimaient pas la nature sombre de ce que raconte Delphine de Vigan. Ce était une histoire en trois parties de la vie de sa mère, Lucile.

    On discutait si le livre était un roman ou une biographie. L’auteur avait entrepris des recherches considérables, les entrevues de nombreux membres de la famille, la lecture de vieilles lettres et de l’écoute d’enregistrements audio. Mais de toute évidence, les écarts devraient être rempli et ce est là qu’elle a été contraint de faire appel à ses compétences comme une écrivaine de fiction. Ainsi, alors qu’il peut ne pas avoir été un travail complet de la fiction, il ne était pas entièrement un documentaire d’une vie. Peut-être plus écrit contient à la fois réalité et la fiction.

    La première partie était assez différent du reste du livre. Il dépeint ce que pour les personnes en anglais pourrait être une famille française idéale. Beaucoup de relations se retrouvent au Pierepont en Ardèche pour les vacances. Les repas copieux, bohème amis, typiquement françaises. Parfois ce est un conte de la vie quotidienne des français.

    Ursula Le Guin, écrit dans The Guardian, dit que la première partie du livre est “où la précision lumineuse de la prose me rappelle Colette, où le mélange de la réminiscence signalé, légende familiale et l’invention emphatique est si efficace, et où la famille Poirier – parents et enfants – apparaissent dans une sorte de Renoir soleil, débordant de vie et dynamiques personnalités, presque assez pour dissimuler l’obscurité cache “.

    Les deux prochaines parties sont très différentes. On apprend que Lucile a bi-polaire et on découvre comment la famille se réconcilier avec sa maladie, en particulier sa fille, l’auteur.

    Une autre caractéristique de ce livre est la façon dont l’auteur se engage avec le lecteur de temps à autre. Par exemple, sur la façon dont elle a lutté pour se réconcilier avec l’écriture du livre et les implications de ce qu’elle faisait. Serait-il bouleverser d’autres membres de la famille? Était-ce quelque chose de trop personnel? Comment il a été entendu par “l’homme que je aime”.

    Un ou deux ne aimaient pas cette façon à écrire. Ils pensaient qu’elle donner des excuses pour ses écrits. Personnellement, je aime généralement cette approche. Il aide le lecteur à se engager avec l’auteur, l’écriture et la tâche de l’écriture.

    De toute évidence, Delphine de Vigan profondément réfléchi à savoir se il devrait écrire le livre. Mais comme elle a dit, “J’ai longtemps lutté contre l’idée d’écrire. Mais, si j’écrivais pas ce livre, j’écrivais pas de autre. ”

    Quand elle se approcha de sa sœur, Manon a dit, «Il faut aller au bout. Ne rien laisses en ombre.“

    On a discuté de comment bien les parents de Lucile étaient. Et l’incident lorsque Liane et George pris le week-end a Londres. La petite Violette se mit pleurer dans le nuit.

    Delphine a du mal à comprendre la cause de la maladie et les problèmes de sa mère. Était-ce la famille? Était-ce génétique? Lucile a travaillé comme un modèle comme un enfant. Cela at-il une certaine façon affecte elle? Comme le rapporte Delphine, Lucile a dit: «J’étais une enfant très belle et ça m’a couté cher”.

    Je essaie de faire des liens avec d’autres livres que je ai lu que je ne pouvais me empêcher de remarquer que la première ligne de Rien se oppose le nuit est «Ma mère était bleue», évocateur de la première ligne de L’Etranger de Camus: “Hier, maman est morte”. Il y avait aussi bien sûr la référence à En attendant Godot. Lucile était Didi et Manon joué Gogo.

    L’un des thèmes du livre était le suicide. Donc, beaucoup de jeunes hommes se sont suicidés. De trois suicides, Lucile a dit, “cela commence a faire beaucoup.” Lisbeth a repondu, “Oh, tu sais, on commence a avoir l’habitude”.

    Dans l’ensemble je ai trouvé ce un livre remarquable qui m’a fait penser, un livre que je voulais revenir à la lecture chaque fois que je le posais. Il ne est pas toujours facile à lire, souvent sombre et profondément émotionnelle mais finalement enrichissante.

Leave a Reply