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L’Etrange Affaire du pantalon de Dassoukine – Fouad Laroui
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L’Etrange Affaire du pantalon de Dassoukine de Fouad Laroui
La plupart de ceux qui ont participé le cercle de Octobre apprécié ce livre de neuf nouvelles (short stories). Xavier, Qui est le directeur d’Alliance Française, Manchester, a dirigé la discussion. Il va continuateur jusqu’à la fin de l’année.
Fouad Laroui est un écrivain (et économiste) marocain qui vit à Amsterdam. où il enseigne économétrique et sciences de l’environnement. Il a vécu en France et au Royaume-Uni (Cambridge et York) et a remporté le Prix Goncourt de la Nouvelle (2013) pour ce livre.
Certaines des questions discutés sont:
1. Y at-il un thème commun entre les différentes histoires?
2. Était l’auteur français ou Marocain? Il a vécu le Pays Bas mais parlait et écrivait en français.
3. Quelle était l’intention de l’auteur?
4. Était-il, comme Becket, montrant l’absurdité de l’existence?
5. Est ce que les histoires étaient des expériences dans des styles différents?
L’Etrange Affaire du pantalon de Dassoukine – La première nouvelle raconte l’histoire d’un diplomate qui travaille pour le gouvernement marocain et qui cherche à obtenir le blé de la communauté européenne. Il doit présenter devant le comité au début de la matinée. Dans la nuit, une main apparaît à travers la fenêtre. Dans la matinée, il trouve son pantalon sont volés. Il n’a pas de pantalon de rechange et sa rencontre avec le comité doit commencer avant que les magasins sont ouverts. Il ne veut pas présenter devant le comité avec les jambes nues. Très amusante.
Dislocation – Que serait, se demanda-t-il, un monde ou tout serait étranger? Il répète ce phrase beaucoup des fois et chaque fois il ajoute quelque chose de plus. Très différent et original
Né nulle part – est-ce qu’il est né à Rabat ou Khzazna? Son grand-père a marqué Rabat sur son certificat de naissance parce que, en tant que politicien, il voulait le vote supplémentaire.
Khouribga ou les lois l’univers – pigiste pour La Tribune de Casablanca. Il cherche les hommes qui compte dans le ville de Khouribja. “On se retrouve tous chez Bouazza”
Ce qui ne s’est dit à Bruxelles – Annie voyage a Bruxelles pour voir John, un Hollandais.
Le garde du corps de Bennani – Hamid raconte une histoire au cafe de l’univers a Casablanca
L’invention de la natation seche – Le circulaire du ministère évoquait le natation, mais ne précisait pas la natation dans l’eau
Le quart d’heure des philosophes Mon préféré est celui où un ancien élève invite son ancien professeur de revoir la classe où elle a donné ses cours de philosophie. Il lui dit qu’elle a ruiné sa vie en le forçant à penser à des choses lui donner des cauchemars quand il était encore jeune seulement. Il verrouille la porte et lui dit de faire quelque chose pour lui rendre son innocence et le libérer de l’angoisse. Il produit un pistolet et la menace. La tension monte. “Vous veniez délivrer votre cour et vous repartiez. Mais moi, c’était, c’était autre choses. Le pensée. Le doute! L’angoisse qui s’installait!” Quand il appuie sur la gâchette, il déverse de l’eau sur elle. Elle échappe mais lui demande une dernière question. Qu’est-ce que vous faites dans la vie? Je suis un professeur de philosophie.
Là nuit d’avant
Quelques phrases que je noté:
“Permet que je te la note Dans mon calepin.” Répétée dans plus d’une des histoires.
“Que faire? comme disait le vieux Vladimir” (lien vers Becket et l’absurde)
“Le vase est fait d’argile mais c’est le vide qui le fait vase” – Tao
Ce qui suit est d’une revue sur amazon.fr
“Très inégal et cependant, dans l’ensemble, d’une lecture assez jubilatoire. Deux thèmes : la petite vie marocaine, traitée avec énormément de tendresse, d’humour et de dérision légère, avec, souvent, un groupe d’amis intellectuels qui discutent des journées entières dans les cafés de Casablanca, et d’autre part, plus sérieux et peu marocain, l’évocation d’hommes à mi-parcours de leur vie, brillants, étrangers aux pays où ils vivent (fussent-ils marocains ou néerlandais) et à leurs amours, avec le plus souvent un retour (résigné ?) à la tendresse à défaut de la passion.” amazon.fr
Je aimé les histoires beaucoup. Plusieurs étaient tout à fait différentes l’une de l’autre. Comme si elles étaient des expériences, jouant avec le genre. Ils ont donné un bon aperçu de la vie marocaine et l’humour marocain. Plusieurs des histoires impliquent un groupe d’amis dans un café, souvent au café de l’Univers à Casablanca, où une personne raconte et les autres interrompent avec badinage.
On doit essayer un peu plus de livres des nouvelles..