Stupeur et Tremblements – Amélie Nothomb

lundi 19 juin 2017

Je ne pouvais pas décider si je sympathisais avec Amélie Nothomb à cause du terrible traitement qu’elle recevait entre ses mains. Ou si j’ai été choqué par ses stéréotypes des Japonais.

Écrivain belge, Amélie Nothomb a passé ses cinq premières années au Japon. Son père était diplomate, donc son enfance a été passée dans différents pays. Comme jeune femme, elle retourne au Japon et est embauché comme traductrice de la société japonaise Yumimoto à Tokyo.

Amélie trouve les conventions, les étiquettes et les moyens de travailler dans les sociétés japonaises complètement en contradiction avec la façon dont elles seraient dans les pays européens ou américains.

Si ton visage exprime un sentiment, tu est vulgaire, si un garçon t’embrasse sur la joue en public, tu est un putain, si tu éprouves du plaisir a dormir, tu est une vache.

Il dit aussi quelque chose au sujet du traitement japonais des femmes. Seulement 5% des travailleurs étaient des femmes. Quand mème, son supérieur est aussi une femme, Fubuki Mori.

Elle a écrit que l’histoire est absolument vraie et elle dit qu’elle n’a pas assez d’imagination pour inventer une telle histoire. Mais je me demande si elle a exagéré de chercher une sorte de vengeance

Elle fait une descente aux enfers.  Quand on nettoie les toilettes, on ne droit pas craindre de tomber plus bas.

C’était le travail qui lui a donné le courage de soumettre ses écrits à un éditeur. Combien pire pourrait avoir la vie que le nettoyage des toilettes

Dans ma tête, le sale devint le propre, le honte devint la gloire, le tortionnaire devint le victime et le sordide devint le comique.

Plusieurs des critiques ont été faites par ceux qui ont travaillé pour des entreprises japonaises. Le thème général de ce qu’ils disent, c’est que si vous n’avez pas travaillé pour une entreprise japonaise, vous pouvez penser que Amélie Nothomb exagère. Ils disent qu’elle n’a pas exagéré.

On m’a dit que son autre livre sur Japan, ”ni d’Éve, ni d’Adam” est plus sympathique envers le pays.

Le lecture est court et facile à lire, néanmoins drôle et subtile.

À la fin, après avoir parlé avec d’autres, j’ai décider que Stupeur et tremblements est une critique pas seulement de la hiérarchie Japanese, mais une critique des hiérarchies en général.

This entry was posted in Uncategorised. Bookmark the permalink.

Leave a Reply